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Un bâtiment qui ne cesse de s'adapter

Historique

    En 1843, la Compagnie de l'État Belge étend son réseau ferré dans le Hainaut. Après avoir relié Bruxelles à Mons, elle embranche en gare de Braine-le-Comte une ligne vers Charleroi et Namur. À l'époque, il était question de doubler les voies d'eau, jugées trop lentes, mais qui présentent l'avantage d'avoir cristallisé les villes et industries. La liaison directe (par Nivelles) vers la capitale ne sera inaugurée qu'en 1874.
    En 1848, la Compagnie de l'Entre Sambre et Meuse inaugure un tronçon vers Walcourt et Morialmé, importants sites d'exploitation extractive.
    En 1852, la Compagnie du Nord Belge, relie Charleroi à son réseau français, via Erquelinnes.
    En 1855, La Compagnie du Grand Central Belge, qui s'est constituée en rassemblant diverses compagnies privées, relie Ottignies à Charleroi

Gare du Sud au début du XXe siècle

    En 1874, l'actuel bâtiment est inauguré. À l'époque, il ressemble fort à celui de Liège Guillemins, démoli depuis. Sa structure est assez classique des principales gares de passage construites à cette époque (Arlon, Namur, Mons, Tournai) : Un pavillon central, réservé à l'accueil des voyageurs, encadré par deux ailes reprenant un buffet et les services annexes, et deux pavillons d'extrémité. Le tout dégageant une impression ostensiblement imposante, le train étant à l'époque le symbole du progrès qui se répand dans l'ensemble du pays. Un important maillage de lignes industrielles se développe ensuite dans le bassin charbonnier, sidérurgique et industriel carolorégien. Plusieurs gares de formation sont établies afin de composer les convois qui sont expédiés aux quatre coins du pays, et par delà les frontières.
    En 1949, la ligne vers Bruxelles est la seconde ligne principale à être électrifiée (après la ligne Bruxelles - Anvers, électrifiée en 1935).
    En 1984, la gare est reliée à Charleroi-Ouest par une voie unique franchissant la Sambre sur un pont en courbe où la vitesse des convois est limitée à 30km/h.
    En 2005, l'extérieur du bâtiment est rénové. L'intérieur le sera progressivement par la suite, avec notamment la couverture d'une partie du large quai de la voie 1 afin d'en faire une petite galerie commerciale et de service. Le revêtement des quais est également remplacé.
    En 2011, la gare rénovée est inaugurée.

Un bâtiment qui ne cesse de s'adapter

Historique

En 1843, la Compagnie de l'État Belge étend son réseau ferré dans le Hainaut. Après avoir relié Bruxelles à Mons, elle embranche en gare de Braine-le-Comte une ligne vers Charleroi et Namur. À l'époque, il était question de doubler les voies d'eau, jugées trop lentes, mais qui présentent l'avantage d'avoir cristallisé les villes et industries. La liaison directe (par Nivelles) vers la capitale ne sera inaugurée qu'en 1874. En 1848, la Compagnie de l'Entre Sambre et Meuse inaugure un tronçon vers Walcourt et Morialmé, importants sites d'exploitation extractive. En 1852, la Compagnie du Nord Belge, relie Charleroi à son réseau français, via Erquelinnes. En 1855, La Compagnie du Grand Central Belge, qui s'est constituée en rassemblant diverses compagnies privées, relie Ottignies à Charleroi

Gare du Sud au début du XXe siècle En 1874, l'actuel bâtiment est inauguré. À l'époque, il ressemble fort à celui de Liège Guillemins, démoli depuis. Sa structure est assez classique des principales gares de passage construites à cette époque (Arlon, Namur, Mons, Tournai) : Un pavillon central, réservé à l'accueil des voyageurs, encadré par deux ailes reprenant un buffet et les services annexes, et deux pavillons d'extrémité. Le tout dégageant une impression ostensiblement imposante, le train étant à l'époque le symbole du progrès qui se répand dans l'ensemble du pays. Un important maillage de lignes industrielles se développe ensuite dans le bassin charbonnier, sidérurgique et industriel carolorégien. Plusieurs gares de formation sont établies afin de composer les convois qui sont expédiés aux quatre coins du pays, et par delà les frontières. En 1949, la ligne vers Bruxelles est la seconde ligne principale à être électrifiée (après la ligne Bruxelles - Anvers, électrifiée en 1935). En 1984, la gare est reliée à Charleroi-Ouest par une voie unique franchissant la Sambre sur un pont en courbe où la vitesse des convois est limitée à 30km/h. En 2005, l'extérieur du bâtiment est rénové. L'intérieur le sera progressivement par la suite, avec notamment la couverture d'une partie du large quai de la voie 1 afin d'en faire une petite galerie commerciale et de service. Le revêtement des quais est également remplacé. En 2011, la gare rénovée est inaugurée.

Un bâtiment qui ne cesse de s'adapter

Historique

En 1843, la Compagnie de l'État Belge étend son réseau ferré dans le Hainaut. Après avoir relié Bruxelles à Mons, elle embranche en gare de Braine-le-Comte une ligne vers Charleroi et Namur. À l'époque, il était question de doubler les voies d'eau, jugées trop lentes, mais qui présentent l'avantage d'avoir cristallisé les villes et industries. La liaison directe (par Nivelles) vers la capitale ne sera inaugurée qu'en 1874. En 1848, la Compagnie de l'Entre Sambre et Meuse inaugure un tronçon vers Walcourt et Morialmé, importants sites d'exploitation extractive. En 1852, la Compagnie du Nord Belge, relie Charleroi à son réseau français, via Erquelinnes. En 1855, La Compagnie du Grand Central Belge, qui s'est constituée en rassemblant diverses compagnies privées, relie Ottignies à Charleroi

Gare du Sud au début du XXe siècle En 1874, l'actuel bâtiment est inauguré. À l'époque, il ressemble fort à celui de Liège Guillemins, démoli depuis. Sa structure est assez classique des principales gares de passage construites à cette époque (Arlon, Namur, Mons, Tournai) : Un pavillon central, réservé à l'accueil des voyageurs, encadré par deux ailes reprenant un buffet et les services annexes, et deux pavillons d'extrémité. Le tout dégageant une impression ostensiblement imposante, le train étant à l'époque le symbole du progrès qui se répand dans l'ensemble du pays. Un important maillage de lignes industrielles se développe ensuite dans le bassin charbonnier, sidérurgique et industriel carolorégien. Plusieurs gares de formation sont établies afin de composer les convois qui sont expédiés aux quatre coins du pays, et par delà les frontières. En 1949, la ligne vers Bruxelles est la seconde ligne principale à être électrifiée (après la ligne Bruxelles - Anvers, électrifiée en 1935). En 1984, la gare est reliée à Charleroi-Ouest par une voie unique franchissant la Sambre sur un pont en courbe où la vitesse des convois est limitée à 30km/h. En 2005, l'extérieur du bâtiment est rénové. L'intérieur le sera progressivement par la suite, avec notamment la couverture d'une partie du large quai de la voie 1 afin d'en faire une petite galerie commerciale et de service. Le revêtement des quais est également remplacé. En 2011, la gare rénovée est inaugurée.

Un bâtiment qui ne cesse de s'adapter

Historique

En 1843, la Compagnie de l'État Belge étend son réseau ferré dans le Hainaut. Après avoir relié Bruxelles à Mons, elle embranche en gare de Braine-le-Comte une ligne vers Charleroi et Namur. À l'époque, il était question de doubler les voies d'eau, jugées trop lentes, mais qui présentent l'avantage d'avoir cristallisé les villes et industries. La liaison directe (par Nivelles) vers la capitale ne sera inaugurée qu'en 1874. En 1848, la Compagnie de l'Entre Sambre et Meuse inaugure un tronçon vers Walcourt et Morialmé, importants sites d'exploitation extractive. En 1852, la Compagnie du Nord Belge, relie Charleroi à son réseau français, via Erquelinnes. En 1855, La Compagnie du Grand Central Belge, qui s'est constituée en rassemblant diverses compagnies privées, relie Ottignies à Charleroi

Gare du Sud au début du XXe siècle En 1874, l'actuel bâtiment est inauguré. À l'époque, il ressemble fort à celui de Liège Guillemins, démoli depuis. Sa structure est assez classique des principales gares de passage construites à cette époque (Arlon, Namur, Mons, Tournai) : Un pavillon central, réservé à l'accueil des voyageurs, encadré par deux ailes reprenant un buffet et les services annexes, et deux pavillons d'extrémité. Le tout dégageant une impression ostensiblement imposante, le train étant à l'époque le symbole du progrès qui se répand dans l'ensemble du pays. Un important maillage de lignes industrielles se développe ensuite dans le bassin charbonnier, sidérurgique et industriel carolorégien. Plusieurs gares de formation sont établies afin de composer les convois qui sont expédiés aux quatre coins du pays, et par delà les frontières. En 1949, la ligne vers Bruxelles est la seconde ligne principale à être électrifiée (après la ligne Bruxelles - Anvers, électrifiée en 1935). En 1984, la gare est reliée à Charleroi-Ouest par une voie unique franchissant la Sambre sur un pont en courbe où la vitesse des convois est limitée à 30km/h. En 2005, l'extérieur du bâtiment est rénové. L'intérieur le sera progressivement par la suite, avec notamment la couverture d'une partie du large quai de la voie 1 afin d'en faire une petite galerie commerciale et de service. Le revêtement des quais est également remplacé. En 2011, la gare rénovée est inaugurée.

Une place en perpétuelle transformation

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